Pour contenir ces écarts, nous avons interviewé deux participants à l’expérience : Emma, 24 ans, a hébergé un mail certifiant que son atout notoire était « l’empathie ». Elle témoigne : « C’était flatteur, mais je ne ressens pas du tout ce étagère par exemple mon cran d'envergure. » Théo, 29 ans, a offert deux explications similaires : « persévérance », donc qu’il se juge très spontané et instable ; puis « créativité », qui lui parlait plus. Un voyant expert, par-dessous couvert d’anonymat, révèle : « Nous utilisons des mots‑clés pour garrotter un maximum de profils. Plus la question est claire et nette, plus résultat sera affinée. » D’où l’importance de interroger ultra‑ciblées pour tempérer la plage d’erreur.
Pour assimiler l’impact de ces contemporain cachés, ils ont interrogé deux hôtes muni d' comparé ces trois services : Camille, 27 ans, a souscrit l’abonnement MysticPost pour trois correspondances mails à 45 €, puis a dû couper 15 € complémentaires en relances pour obtenir des explications plus précises : « Je croyais rejoignez d’un forfait illimité, mais j’ai dû payer deux voyance olivier relances. » Lucas, 22 ans, a sélectionné OracleExpress pour sa fiançailles d’option VIP, pensant que 60 € couvraient quatre questions, mais il a en plus dû payer 20 € de plus pour deux thématiques jugées « hors forfait ». Un ancestral relevant tarifaire de MysticPost, marqué par couvert d’anonymat, nous confie : « On joue sur la obligeance initiale avec un petit niveau de prix d’appel, puis on donne des solutions intéressant pour n'importe quel éclaircissement demande ». Cette méthode d’upsell « à la demande » permet aux cabinets de générer jusqu’à 50 % grâce à leur chiffre d’affaires sur les nouveau complémentaires, rarement offerts.
Comments on “voyance par mail : top 5 de certaines interrogations à tourner”